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17 février 2013 7 17 /02 /février /2013 13:42

mmorrow: Jane Eyre (2011) Background painting by Claude Lorrain (x)  ghost-man-blues: Eilean Donan Highland castle

 

" Les horizons m'encerclent comme des fagots

Qui penchent, disparates, et pour toujours instables.

Il suffirait d'une allumette pour qu'ils me réchauffent

Et que leurs lignes fines

Rougissent l'air

wishuponacloud: There May Be Trouble Ahead by mark_mullen on Flickr.  

 

Lestant le ciel pâle d'une couleur plus sûre,

Avant que les lointains qu'elles fixent ne s'évaporent,

Mais ils ne font que se dissoudre et se dissoudre

Comme une succession de promesses, à mesure que j'avance.../...

 

 

 

" Je rencontre des ornières, et de l'eau

Limpide comme les solitudes

Qui fuient entre mes doigts.
Des seuils creux tour à tour apparaissent dans l'herbe ;

Linteaux et perrons se sont désassemblés.

 

 elostirion: Duart Castle by gregheath on Flickr.

 

Des gens, l'air ne se souvient que

De quelques étranges sillabes.

Il les répète en gémissant :

Pierre noire, pierre noire.

 

 

 

Le ciel s'appuie sur moi, moi, la seule à être debout

Parmi toutes les horizontales.
Les herbes affolées battent et se cognent.
Elles sont trop délicates

Pour vivre en telle compagnie ;

L'obscurité les terrifie.
Maintenant, dans des vallées aussi étroites

Et sombres que des poches, les lumières des maisons

Luisent comme de la petite monnaie.

 

"Wuthering heights" extraits, Sylvia Plath 

 

 storybook-magic: Connected to the forest by *MaaykeKlaver

 

Bon dimanche à toutes et tous...

(Photos source) 

 
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2 octobre 2011 7 02 /10 /octobre /2011 14:02
Robert Doisneau - Aubade pour Manhattan - 1960 (Source)
 
Berck-Plage
"C'est donc cela, la mer, cette immensité hors d'usage
Le cataplasme du soleil ne peut rien contre ma brûlûre.
 
Dans l'air fusent les couleurs électriques de sorbets
Puisés dans la glace par les mains gercées de filles blèmes.
 
Pourquoi est-ce si calme, que veut-on nous cacher ?
J'ai mes deux jambes et le sourire pour avancer.
 
Une épaisse couche de sable étouffe les vibrations ;
Elle s'étend sur des kilomètres et des kilomètres,
 
Et les voix flottent, immatérielles, diminués de moitié.
Le regard vient heurter contre ces surfaces lisses.
 
Qui renvoient comme un boomerang leur vision blesser l'oeil,
Faut-il s'en étonner si lui porte des lunettes noires ?
 
Faut-il s'en étonner s'il a opté pour une soutane ?
Ceux qui s'occupent de rassembler leur butin de sardines.
 
Lui présentent la muraille de leurs dos.
Ils manipulent les losanges vert et noir comme les morceaux d'un corps.
 
La mer aux serpents nombreux qui avait crée ces cristaux
Se retire en rampant et siffle longuement sa détresse
 
Berck-Plage, Sylvia Plath, extrait (partie 1) Ariel. "
Bonne promenade et bon dimanche !!!
Ceci est ma participation aux dimanche poétiques de Bockworm  (liste des participantes par ici)  
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14 novembre 2010 7 14 /11 /novembre /2010 16:26
              Willy Ronis - Le chat de la concierge

 

Le chat 

Extrait "Les Fleurs du mal"

 

Viens, mon beau chat, sur mon cœur amoureux ;
    Retiens les griffes de ta patte,
    Et laisse-moi plonger dans tes beaux yeux,
    Mêlés de métal et d'agate.
   
    Lorsque mes doigts caressent à loisir
    Ta tête et ton dos élastique,
    Et que ma main s'enivre du plaisir
    De palper ton corps électrique,
   
    Je vois ma femme en esprit. Son regard,
    Comme le tien, aimable bête,
    Profond et froid, coupe et fend comme un dard,
   
    Et, des pieds jusques à la tête,
    Un air subtil, un dangereux parfum,
    Nagent autour de son corps brun.

 

    Charles Baudelaire

 

Dimanche poétique avec Boockworm, la liste des participantes ici.

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7 novembre 2010 7 07 /11 /novembre /2010 14:20

Gabriel Ferrier (merci à Lali)

 

Wuthering Heights (extrait)

 

"Avec fracas dehors le vent grondait
Dans le ciel pâli de l’automne,
Froide et drue, la pluie qui tombait à flots
Parlait d’hivers de tempête proches.

Bien trop pareils à ce morne soir.
Des soupirs, d’un chagrin plaintif —
Des soupirs d’abord — mais brefs,
Doux. Avec quelle douceur exhalés !
Des mots sauvages d’une vieille chanson,
Indéfinie, sans nom —

“C’était le printemps, car l’alouette chantait.”
Ces mots-là créaient une magie —
Ils descellaient une source profonde
Qu’Absence ni Distance ne peuvent tarir.

Dans la tristesse d’un gris novembre
Ils disaient la musique de mai —
Ils ranimaient la braise mourante
D’une ferveur qui ne s’éteindrait

Éveillez sur toutes mes chères landes
Le vent dans sa gloire et son orgueil !
O appelez-moi des vallées et des montagnes,
Que je marche au bord du torrent !
Il s’est gonflé des premières neiges ;
Les rochers sont blanchis et glacés
Plus sombre ondoie autour la longue bruyère
Sur les fougères le soleil ne luit plus. "

 

Ceci est ma participation aux dimanches poétiques de Bockworm, la liste des participantes ici.

  

 

Bon dimanche !

 

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24 octobre 2010 7 24 /10 /octobre /2010 13:00

Ma participation aux dimanches poétiques avec Bockworm, la liste des participantes ici.

 

Carl Larsson - Flower Window

 

Terre des hommes (extrait)

Antoine de Saint-Exupery

 

" Il était, quelque part, un parc chargé de sapins noirs et de tilleuls, et une vieille maison que j’aimais. Peu importait qu’elle fût éloignée ou proche, qu’elle ne pût ni me réchauffer dans ma chair ni m’abriter, réduite ici au rôle de songe : il suffisait qu’elle existât pour remplir ma nuit de sa présence. Je n’étais plus ce corps échoué sur une grève, je m’orientais, j’étais l’enfant de cette maison, plein du souvenir de ses odeurs, plein de la fraîcheur de ses vestibules, plein des voix qui l’avaient animée. Et jusqu’au chant des grenouilles dans les mares qui venait ici me rejoindre. J’avais besoin de ces mille repères, pour me reconnaître moi-même, pour découvrir de quelles absences était fait le goût de ce désert, pour trouver un sens à ce silence fait de mille silences, où les grenouilles même se taisaient. Non, je ne logeais, plus entre le sable et les étoiles. Je ne recevais plus du décor qu’un message froid. Et ce goût même d’éternité que j’avais cru tenir de lui, j’en découvrais maintenant l’origine. Je revoyais les grandes armoires solennelles de la maison. Elles s’entrouvraient sur des piles de draps blancs comme neige. Elle s’entrouvraient sur des provisions glacées de neige. La vieille gouvernante trottait comme un rat de l’une à l’autre, toujours vérifiant, dépliant, repliant, recomptant le linge blanchi, s’écriant : « Ah ! mon Dieu, quel malheur », à chaque signe d’usure qui menaçait l’éternité de la maison, aussitôt courant se brûler les yeux sous quelque lampe, à réparer la trame de ces nappes d’autel, à ravauder ces voiles de trois-mâts, à servir je ne sais quoi de plus grand qu’elle, un Dieu ou un navire. "

 

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3 octobre 2010 7 03 /10 /octobre /2010 13:16

 

Willy Ronis

 

Intérieurs

 

".../...

Je suis cette ouverte demeure
Où plongent passant les passants
On m’y voit l’autre et l’un versants
Et mes secrets et mes rumeurs

 

Mais qu’y peut-on lire sinon
Ce qui m’habite et me tourmente
Ce qui me trouble et que je chante
Ecrit partout partout ton nom

 

Pourquoi voudrais-tu que je cache
Ce vin de toi qui me remplit
Quand les autres montrent leurs lits
Leurs bibelots et leurs moustaches

 

Le grand jour entre en souverain
Dans la chambre et l’œil y pénètre
Où sous les jupes des fenêtres
Les courants d’air mènent leur train

 

Il n’est à voir que ton visage
Entendre que ta voix aimée
Car soient mes yeux ou non fermés
Je n’ai que toi de paysage

.../... "

 

 
Pour l'anniversaire de la naissance de Louis Aragon, ma participation aux dimanches poétiques avec Bockworm, la liste des participantes ici.
Bon dimanche à toutes et à tous.
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26 septembre 2010 7 26 /09 /septembre /2010 13:03
Audrey Hepburn

 

" Nathanaël, à présent, jette mon livre. Emancipe-t’en. Quitte-moi ; maintenant tu m’importunes ; tu me retiens ; l’amour que je me suis surfait pour toi m’occupe trop. Je suis las de feindre d’éduquer quelqu’un. Quand ai-je dit que je te voulais pareil à moi ? C’est parce que tu diffères de moi que je t’aime ; je n’aime en toi que ce qui diffère de moi. Eduquer ! Qui donc éduquerais-je, que moi-même ? Nathanaël, te le dirai-je ? Je me suis interminablement éduqué. Je continue. Je ne m’estime jamais que dans ce que je pourrais faire.

 

Nathanaël, jette mon livre ; ne t’y satisfais point. Ne crois pas que ta vérité puisse être trouvée par quelque autre ; plus que de tout, aie honte de cela. Si je cherchais tes aliments, tu n’aurais pas de faim pour les manger ; si je te préparais ton lit, tu n’aurais pas sommeil pour y dormir.

 

Jette mon livre ; dis-toi bien que ce n’est là qu’une des mille postures possible en face de la vie. Cherche la tienne. Ce qu’un autre aurait aussi bien fait que toi, ne le fais pas. Ce qu’un autre aurait aussi bien dit que toi, ne le dis pas, aussi bien écrit que toi, ne l’écris pas. Ne t’attache en toi qu’à ce que tu sens qui n’est nulle part ailleurs qu’en toi-même, et crée de toi, impatiemment ou patiemment, ah ! le plus irremplaçable des êtres. "

 

Ceci est ma participation aux dimanches poétiques de chez Bockworm, la liste des participantes ici.

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20 août 2010 5 20 /08 /août /2010 14:56

 

Quatrième de couverture :

 

Suivre l’exemple de la rivière du crépuscule, méditer sur un nuage, écouter le conte de la fleur, les avertissements des cigales, ou dire simplement ce qu’on a sur le coeur.

À travers sa poésie Lee Gil-won observe le quotidien avec un humour et un franc-parler particulier, un peu à part de la mouvance naturaliste moderne. Il aime célébrer les beautés de la nature, visibles ou mystérieuses comme autant de manifestations organiques de la société.
Avec ce recueil, il convie le lecteur à se nourrir d’une poésie de l’instant vivant, des connivences tristes, des vérités de l’existence ou de la joie hédoniste.

La rivière du crépuscule se compose de cinquante poèmes de Lee Gil-won, traduits pour la première fois en français, illustrés par une trentaine de photographies d’Antoine Coppola.

 

Bon, autant vous le dire tout de suite la poésie contemporaine n'est pas vraiment pour moi. En fait je n'ai pas vraiment été sensible à ces poèmes.

C'est dommage, mais bon, c'est ainsi.

Une poésie pour moi un peu  trop "terre à terre", trop réaliste... Je n'ai pas trouvé assez d'évasion dans ses mots... Un humour un peu trop noir pour moi en plus... Et voilà tout les ingrédients réunis pour que ma lecture soit un échec.

Bien sûr cela ne prouve pas du tout que votre avis ressemblera au mien.

La lecture est quelque chose de tellement subjectif...

Je ne saurais trop vous conseiller de vous faire votre propre avis.

Pour vous y aider je me propose de vous en donner deux extraits, à vous de voir donc !

 

Clair de lune

 

Ce déplorable clair de lune

Me rend fou

J'aimerais pouvoir le broyer,

L'enfoncer dans un grand bol,

Et l'avaler cul sec

En y ajoutant

Quelques étoiles

Qui scintillent comme ses yeux.

 

Adieu chaque jour

 

Ce n'est pas seulement la fleur dans le pré

Que les vents agitent.

J'ai rencontré le brin d'herbe aujourd'hui.
Les vents qui ont commençé à parcourir le monde,

Un millier d'années de cela.

Se souviennent encore du parfum de résine

Du pin penché.
Aimer quelqu'un profondément

Est aussi pénible que le haïr.
A travers les nuages sombres

Qui pleurent et la pluie qui tombe

Le ciel bleu n'était-il pas

Toujours là ?

Un peu plus joyeux,

Un peu plus triste.

Fais-le ainsi.

Depuis un millier d'années, le vent

Dit adieu chaque jour,

Dit adieu chaque jour.

 

Lee Gil-won

 

Je vais juste rajouter une petite chose mais ma première déception en ouvrant ce livre est de constater que les photos qui l'illustrent sont en noir et blanc. Les photos de la nature s'accompagnent mal de noir et blanc. Cela me semble dommageable. La nature ne puise t'elle pas ses plus beaux atous dans la couleur ?

La déception était d'autant plus grande que la photo de la couverture était magnifique !!!

 

Je remercie Blog O Book pour l'envoi de ce livre ainsi que les éditions Sombres Rets

 

Le lac

 

Juste une toute petite question pour finir. Vous qui avez l'habitude des partenariats avec B.O.B. faut-il leur signaler quand le billet est en ligne ???

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13 juin 2010 7 13 /06 /juin /2010 14:13

Ma vie,

 

Tu t'en vas sans moi, ma vie.

Tu roules.

Et moi j'attends encore de faire un pas.

Tu portes ailleurs la bataille.

Tu me désertes ainsi.

Je ne t'ai jamais suivie.

Je ne vois pas clair dans tes offres.

Le petit peu que je veux jamais tu ne l'apportes.

A cause de ce manque, j'aspire à tant.

A tant de choses, à presque l'infini...

A cause de ce peu qui manque, que jamais tu n'apportes.

 

La nuit remue (extrait) Poésie Gallimard

 

         

                                    Henri Michaux, 1958, encre de Chine sur papier de 32 x 24 cm,

                                                Musée national d'art moderne, Paris.
 
     Henri Michaux, 1661, sans titre
 
C'est un texte tellement fort, qu'il est inutile de rajouter quoi que ce soit...
 
Participation aux dimanches poétiques de Celsmoon.
Les autres participantes ici. 
 
Envie d'un petit morceau de nostalgie ?
 
 

 

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23 mai 2010 7 23 /05 /mai /2010 16:01

Me bannir de moi

Si j'avais ce don

Invincible ma place

A tout autre coeur.

 

Mais si je m'assaille,

Quelle paix avoir,

Sauf à réduire

Ma conscience ?

 

Et puisque nous sommes deux rois,

Comment faire,

Sauf en abdiquant

De moi même ?

 

Emily Dickinson

 

 

Jeffrey T. Larson - Into the sun - 2008

 

Participation aux dimanches poétiques de Celsmoon

Très beau dimanche à vous tous et toutes !!!

 

Edelwe, Mango, Abeille, Emmyne, Chrestomanci, Mariel, Laurence , Ankya, Herisson08, Anjelica , George, Uhbnji , Fleur, Esmeraldae, Armande, Satya, Zik, Lystig, Amos, Bookworm, Emma, Julien, Marie, Yueyin , Soie , Alex , Hambre , Katell , Mathilde,Schlabaya, Hilde, Saphoo

,La plume et la page, Tinusia, Chrys, Roseau, MyrtilleD, Cagire, Caro[line], Violette,claudialucia,Séverine, Maggie

.

 

 


 

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  • : Le blog de l'or
  • : Je suis une jeune femme passionnée de littérature... Mon blog sera surtout un concentré de ma plus grande passion : la lecture... Il y aura aussi quelques touches de peintures, de cinéma, de musiques et un peu de ma vie aussi... L'Or des Chambres pour un hommage à la très grande Françoise Lefèvre dont j'emprunte le titre d'un de ses livres.
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Le docteur Jivago pour "Un hiver en Russie" (jusqu'au 21 mars) avec Touloulou   

 

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Le roman d'Ernest et Célestine dont je fais la lecture à PetitDernier tous les soirs 

 

Par ici, c'est chaque jour une nouvelle photo de Doisneau, Atelier Robert Doisneau

 

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Twilight - Twilight, T4

Twilight T4

 

Twilight - Twilight, T3

Twilight T3

 

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Twilight T2

 

Twilight - Twilight, T1

Twilight T1

 

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Là fois où je suis devenu écrivain

 

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L'enlèvement

 

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 New York, journal d'un cycle

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0.4

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Miel et vin

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Quinze kilomètres trois

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Le sommet des dieux - Le sommet des dieux, T1

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Le mec de la tombe d'à côté

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Rosa Candida

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Azilis l'épée de la liberté

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Ouragan

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Les tendres plaintes

Les tendres plaintes     

Challenges 2013

tour-du-monde-1

Le tour du monde en 8 ans

 

Challenge Irlande : illimité !!

 

Fin : 31 Juillet 2013

 

objectif-pal-001[1]

Objectif PAL Noire by L'Or et George ; illimité

 

http://img15.hostingpics.net/pics/279733ILEDESERTE2.jpg

Fin : 01 Août 2013 (ou plus)

 

   

Fin : 30 septembre 2013

 

Fin : 30 juin 2013

 

Il viaggio

Fin : 31 Octobre 2013

 

Fin : Décembre 2013 (prolongation) 

 

Challenge littéraire

Repris par Anne 

Fin 31 décembre 2013     

 

Liste des participants

Fin : novembre 2013  

 

challenge gilmore girls 2013

Repris par Touloulou

Date de fin : 08 octobre 2014 

 

challengeQuatreSaisons    

Prolongation jusqu'au 21 décembre 2013

 

dc3a9fi_scandinavie_blanche

            3/5 Ici et  et

Fin : 31 décembre 2013 Repris par Lystig 

 

Fin : 28 Juillet 2013

 

logonaturewriting1 

-/5

Fin : décembre 2012 (Folfaerie m'a donné une prolongation pour cette année, merci à elle !!)

 

  Challenge Colette

-/3

Fin : 23 Septembre 2013 (Prolongation) 

 

Ici, et là 

3/3

Fin : 21 Juin 2013

 

Femmes du mondel ogo  

Cent ans Wassmo

La terre fredonne en si bémo l- Strachan

Les femmes du braconnier - Pujade Renaud

Fin : décembre 2012 (renouvelable)    

 

2/10 Re-Prolongation du challenge :

Fin : 05 avril 2014  

 

Prolongation du challenge

Fin : 30 septembre 2013    

Index auteurs


Agus Milena - Battement d'ailes

Ahern Cecelia - Un cadeau du ciel

Beckett Bernard - Genesis

Benameur Jeanne - Les insurrections singulières

Bertholon Delphine - L'effet Larsen

Brisac Geneviève - 52 ou la seconde vie

Cabasson Armand - La reine des mots

 Calvetti Paola -L'amour secret

Chabrol Caroline - Sous les cahiers, la mort

Cohen Welgryn Myriam - Mères - Myriam Cohen Welgryn
Constantine Barbara - A mélie, sans mélo

Delaflotte Mehdevi Anne - Fugue

Dickens Charles - Un chant de Noël
Divakaruni Chitra Banerjee -Ma soeur, mon amour

Donovan Gérard -Julius Winsome

Estibal Sylvain - Le dernier vol de Lancaster
Ferney Alice - Paradis conjugal
Giraudeau Bernard - Cher amour

Girerd Jacques Rémy, Benoît Chieux - L'enfant au grelot  (album enfant)
Glass Julia - Jours de juin

Guelfenbein Carla - Le reste est silence

Haasse Hella S. -La source cachée
Hannah Kristin - La magie du bonheur

Henrichs Bertina -La joueuse d'échecs 

Herry Jeanne - 80 étés

Hobbie Holly - Juste à temps pour Noël - Holly Hobbie (album enfant) 
Holder Eric - Mademoiselle Chambon

Kamimura Kazuo - Lorsque nous vivions ensemble 1
Kamimura Kazuo - Lorsque nous vivions ensemble 2

Kingsolver Barbara - Un été prodigue

Kortepeter Paul et Susan Wheeler - Youpi, pas d'école  (album enfant)
Lemoine Annie - Les heures chaudes

Lethielleux Maud - Dis oui, Ninon
Levraud Murielle - Le soir autour des maisons 

Malte Marcus - Garden of love

Martinez Carole - Le coeur cousu

Matheson Richard - Je suis une légende

Mazurel Claire et Marie H. Henry - Demain c'est Noël (album enfant)
Mégnin Jean-Philippe - La voie marion

Meyer Stephenie - Les âmes vagabondes

Miller Rebecca - Les vies privées de Pippa Lee 

Moning Karen Marie - Fièvre noire

Mosse Kate - Les fantômes d'hiver

Picasso Marina - Grand-père
Rice Luanne - Les carillons du bonheur
Ryan Carrie -La forêt des damnés

Sampioro Dominique - La petite présence
Scholes Katherine - Les amants de la terre sauvage

Setterfield Diane - Le treizième conte
Sigurdardottir Steinnunn - Le Cheval Soleil
Tardieu Laurence - Comme un père

Vann David - Sukkwan Island   
Vigan Delphine De - No et moi

Woolf Virginia - Mrs Dalloway