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25 mai 2011 3 25 /05 /mai /2011 14:04

 

       Loving Frank

Lecture commune avec  Anne, LystigAnne,  Pyrausta, Valou et Cynthia

 

  Quatrième de couverture :

 

"Chicago,1903. Un jeune couple, les Cheney, fait appel à Frank Lloyd Wright, l’architecte d’avant-garde, génial et rebelle, pour qu’il construise leur nouvelle maison. Et c’est le coup de foudre : Frank tombe follement amoureux de Mamah Borthwick Cheney. Au point que, quelques années plus tard, les amants partent pour l’Europe, abandonnant conjoints et enfants, au grand scandale de la bonne société américaine, puritaine et dévote. Où qu’ils aillent, Frank et Mamah, enchaînés par leur passion mais hantés par une culpabilité intolérable, font la une de la presse américaine. Ils rentrent aux Etats-Unis en 1914, et leur histoire d’amour va connaître un dénouement dramatique…

Nancy Horan raconte avec tact et empathie le combat, perdu d’avance, de deux êtres emportés par un sentiment qui les dépasse. Stéphane Hoffmann, Madame Figaro.

Un amour au goût de soufre. Françoise Dargent, Le Figaro littéraire. "

  

 

Mamah Borthwick et Frank Lloyd Wright



 Extrait du "Chicago Daily Tribune"

 

 « Être mère ne suffit pas, même une huître peut être mère. »

Charlotte Perkins Gilman



Tout d’abord je dois avouer que j’ai une journée de retard pour la lecture commune (mais je ne crois pas être la seule). Hier, une réunion à l’école de « petit dernier » qui devait me prendre une heure, m’a finalement pris toute l’après midi… Voilà pour l’explication.



Maintenant venons en au principal ; mon avis sur ce livre.

Ce n’est pas un coup de cœur comme je le pensais mais presque, c’était vraiment une lecture très intéressante. Je me suis, par contre, rendu compte que j’étais mal à l’aise par rapport à ces livres qui mélangent faits réels et romance. En effet, comment savoir, puisque seuls ceux qui ont réellement vécu leurs histoires savent, ce qui est vraiment arrivé. Peut-être ont-ils vécu d’une façon totalement différente tout ce qui est relaté ici. Leurs ressentis leurs est propre et l’auteur peut-il vraiment s’approprier le droit de parler en leurs noms ? Voilà, il me semble, une question intéressante à soulever…



Par ailleurs il me semble que le livre aurait supporté un peu moins de pages et d’épaisseur. Je me suis moi-même un peu lassé dans la dernière partie du livre. La construction et la vie qui s’installe à Taliesin m’a semblé un peu longue.



Et il y a cette fin aussi, épouvantable, abominable… Je pense d’ailleurs, que si je n’avais pas su que les faits sont réels j’aurais pensé : non, là c’est vraiment trop… je ne peux pas adhérer à cette fin…

Et pourtant…

C’est vraiment la preuve que, parfois, la réalité peut dépasser (largement) la fiction !



Mais maintenant parlons de ce qui m’a vraiment touché dans ce livre : d’abord il y a la voix de Mamah, terriblement proche, terriblement intime. L’on suit ses pas, son chemin, ses hésitations, ses doutes avec beaucoup d’intérêt…

 

Il y a cette femme déchirée entre son attirance avec cet homme, qui lui semble être son âme sœur, et ses enfants, son foyer…

Il y a la tristesse et la douleur de ses jeunes enfants, surtout de son fils, abandonné alors qu’il n’avait que 3 ans, pleurant le départ de leur mère. (j’avoue avoir, à ce moment là, eu du mal à comprendre Mamah)

Il y a l’ébauche et le début du féminisme et des balbutiements des droits des femmes…

Il y a une passion et un élan vers un amour défendu.

Il y a quelques jours (les seuls) de douceurs, de liberté, et d’ivresse à Berlin, tout au début de leur passion. Et d’autres, plutôt heureux eux aussi, à Florence où Mamah se sentira vraiment à sa place et connaîtra certainement ses plus belles heures.

 

«  Les journées s’organisaient aussi simplement que cela, rythmées par le lever du soleil et le repas de midi. Dès huit heures et demie, ils se trouvaient chacun à leur poste, même s’il arrivait à Mamah de se glisser dans l’atelier pour regarder Frank et Taylor Woolley tremper leurs plumes de corbeau dans l’encre et esquisser des dessins délicats sur leurs minces feuilles de papier.

Quand à elle, elle travaillait dans le plus petit des deux jardins de la maison, abritée par une charmille chargée de roses jaunes qui poussaient tout autour de la terrasse. Assise à la table de jardin ronde installée près du mur qui la séparait d’un vertigineux à pic, elle avait vue sur les toits de tuile rouge de Florence…/…

Elle vivait dehors aussi souvent que possible ; certains matins, elle abandonnait sa traduction pour gravir la Via San Francesco jusqu’à l’antique église et jusqu’au monastère, au sommet de la colline. Ce n’était qu’une destination parmi des dizaines d’autres mais toutes ses promenades dans les prés parsemés de coquelicots l’amenaient au même point culminant : Mamah trouvait un endroit où s’asseoir pour contempler les coteaux jusqu’à ce qu’un calme proche de la stupeur s’empare d’elle. Quand les longues heures passées au soleil firent apparaître des auréoles bronzées sur son dos et sa poitrine, elle s’acheta un chapeau avec des bords plus larges.

« Mamah des collines ! » C’est en ces termes que Frank la salua un beau matin qu’elle sortait dans le jardin, son grand chapeau de promenade sur la tête. A compter de ce jour, il ne lui donna plus d’autre surnom. »



Il y a le poids de la société puritaine, le scandale et l’enfer de l’acharnement des journalistes.

Il y a la voix d’Ellen Key, philosophe et féministe avant l’heure (mais qui retournera en quelque sorte sa veste) suédoise (et qui a pour ami un certain Carl Larsson que je vénère) qui fascinera Mamah. Et dont elle traduira les textes.

Il y a le jugement des autres, toujours, tout le temps, dont ils ont du mal à se détacher.

Il y a cette maison incroyable : Taliesin, une vraie création artistique, qui a une présence et une personnalité aussi forte qu’un être humain.



 



«  Ici, Taliesin était grande ouverte sur l’extérieur : le soleil, le ciel, les collines verdoyantes et la terre noire. Bien plus que la maison d’Eart Avenue, celle-ci contenait une promesse de bonheur. Elle était vraiment faite pour Mamah, avec ses terrasses, ses cours et ses jardins qui rappelaient tant les villas italiennes chères à son cœur. Pourtant Taliesin n’avait rien d’italien. Elle présentait les caractéristiques d’ « une maison de la prairie » sans en être une. C’était une construction originale qui ne ressemblait à aucune autre, selon Mamah, un pur produit de l’architecture organique en totale symbiose avec la colline.

Mamah s’émerveillait surtout de l’espace qui s’offrait à l’intérieur de la maison ; on y découvrait un univers à part. Rien n’exprimait mieux l’idéal américain qu’une demeure où l’on se sentait à l’abri tout en restant libre. Mamah adorait s’asseoir devant la cheminée pour contempler le spacieux salon largement ouvert sur les champs et, au-delà, sur l’horizon. Comme s’il n’y avait pas de murs pour arrêter le regard, les pensées et l’esprit pouvaient vagabonder toujours plus loin. Cette maison incarnait le rêve que poursuivait Frank depuis qu’elle le connaissait, celui d’une « architecture démocratique ». Elle l’avait souvent entendu dire que la réalité d’un bâtiment réside dans sa dimension intérieure. Votre façon de meubler cet espace influence votre façon de vivre et votre devenir. Ici, à Taliesin, il n’avait pas envie d’encombrer l’espace d’objets qui n’élèveraient pas leurs âmes. Mamah non plus.

Elle imaginait sans peine le jour où il avait gravi cette colline avec le projet de Taliesin en tête. Loin des contraintes liées à un site urbain, il était libre d’associer le soleil, les brises et les paysages à son idée. Elle le voyait debout, le nez au vent, à l’affût, contempler les lieux comme il le faisait si souvent lorsqu’une idée prenait corps dans son esprit. Bientôt, les carrés et les rectangles, les cercles et les triangles commençaient à s’agencer sous ses yeux. Il pouvait se passer des semaines avant qu’il ne prenne un crayon et du papier. Mais, quand il le faisait, il lui suffisait parfois de dessiner fébrilement pendant une heure pour produire une esquisse fabuleuse. Combien de fois ne l’avait-elle pas entendu affirmer, un peu par bravade, « je l’avais au bout des doigts », comme si c’était la chose la plus facile au monde, alors que les plans étaient en gestation depuis des semaines ? D’autres fois, il sortait son compas, son équerre en T et s’amusait à agencer les formes sur le papier pendant des heures, dessinant et modifiant ses plans comme il avait dû le faire, enfant, avec ses cubes de Fröbel. »







Il y a un homme qui a la passion de son métier et qui se prend un peu pour un dieu. Un homme qui a une facette irrésistible faisant de l’architecture une passion et un art, mais aussi une autre, plus sombre, trahissant ses amis en abusant financièrement d’eux.

 

J’avoue d’ailleurs avoir ressenti pour Frank Lloyd Wright de l’agacement, de l’irritation. Cet homme a vraiment un ego surdimensionné. Et alors qu’il a des goûts de grandeurs, il n’a aucun états d’âme ni la moindre hésitation à profiter de ses amis et collaborateurs. Donnant l’explication que son art et son talent excuse bien cela.

 

Bref un type apparaissant peu sympathique parfois…



Au final, une lecture incontournable !!!

Lu par Zarline, Theoma (tous les autres liens chez elles d'ailleurs).

 

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15 mai 2011 7 15 /05 /mai /2011 13:16

 

Le dernier album de Lynda Lemay est une vraie petite merveille. Je l'écoute en boucle ces derniers jours.

Lynda Lemay c'est une vraie finesse dans les paroles.

Ce sont des vraies petits morceaux pris dans le vif, dans la vie.

Ce sont des textes à pleurer et d'autres à rire.

Et des mélodies qui me font fondre à chaque fois.

Bref je suis définitivement fan !!!

 

Voilà les trois titres que j'adore le plus :

 

 
   


 
 
  
 
Très bon dimanche !!!
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11 mai 2011 3 11 /05 /mai /2011 15:15

D'abord le challenge d'Anis de Littérama :

 

Femmes du mondel ogo

 

Tout simplement un challenge pour faire découvrir la littérature féminime du monde entier. Alors voilà, ce challenge était comme une évidence pour moi qui lit tellement d'auteurs féminimes.

Il se déroulera jusqu'en décembre 2012, renouvelable en plus pour celles qui le désirent. Pour plus d'informations c'est ici même.

 

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Le deuxième c'est le challenge " La littérature fait son cinéma" de Will du blog Kabaret Kulturel.

Pour s'inscrire c'est là.

 

 

Il prendra fin le 04 avril 2012 (du temps devant nous donc).

Le billet récapitulatif est ici.

Je n'avais pas eu le temps de faire tous les billets prévus pour le challenge d'Happy Few (challenge lunettes noires sur pages blanches) alors voilà, j'ai trouvé le challenge idéal pour caser tous les livres dont j'avais envie de parler (Les mots bleus, Le liseur, le Parfum, Un secret... ect...) :

 

Les Mots Bleus The Reader Le Parfum Un Secret Il y a longtemps que je t'aime

 

Tous ceux dont j'ai adoré à la fois le livre et le film...

Donc, en bonne gourmande je m'inscris à la catégorie " Meilleur acteur, actrice". Il faudra lire 10 livres qui ont été adapté au cinéma. Et en faire un billet évidemment...

 

 

Bon, je crois que je vais m'arrêter là, non ???....

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3 mai 2011 2 03 /05 /mai /2011 14:03

La reine des mots Lecture commune avec Liyah 

Le mot de l'éditeur :

 

" Je m´appelle Jenny et, depuis quelques temps, je pars en vrille. Avant tout allait bien et maintenant tout va mal, tout va de pire en pire, je coule ! J´ai inondé mon lycée (on va dire que c´était presque involontaire), déclenché l´alarme incendie, je sème les catastrophes partout où je passe... Évidemment, mes parents paniquent. Ils se sont mis dans la tête de m´emmener voir un psy ! Me voilà face à ce type. Mais qu´est-ce que je fous là ? Il me dit que je ne suis pas folle (mais j´espère bien !). Il veut essayer de m´aider. Bon courage... "

 

 

C'est George, qui, la première, m'a donné envie de lire ce livre. Et je l'en remercie parce que c'était une lecture très agréable. J'ai beaucoup aimé le style de l'auteur, l'humour, le jeu avec les mots... Et Jenny est un personnage très sympathique.

C'est une lecture jeunesse vraiment très, très réussie.

"La reine des mots" : ce titre là ne pouvait que me parler, et le sujet m'a tout de suite interpellé. Et cette lycéenne amoureuse des mots, amoureuse des livres ne pouvait que me rappeler quelqu'un...

Ce livre fait d'ailleurs référence à beaucoup de titres en littérature... ça m'a d'ailleurs redonné envie de relire, encore une fois, "Syngué Sabour", ainsi que de découvrir d'autres titres dont il est question.

 

 

Bon, en vrac, voilà ce que vous découvrirez dans ce livre :

 

Un père amoureux des chiffres et des étoiles qui rêvaient d'être un astronaute.

" Lui, il racontait à sa minuscule Jenny enfouie sous la couette l'histoire d'Apollo 11, de Neil Armstrong s'extirpant de son module ce 21 juillet 1969  pour aller marcher sur la Lune. Avec de grands gestes, il me décrivait les formidables enjambées de cet astronaute, parce que la pesanteur est six fois plus faible là-bas que sur Terre... Il illustrait son récit de photos publiées dans d'énormes livres, si bien que tout cela était concret, tangible. Les princes dont il me parlait n'avaient que faire d'aller embrasser des princesses endormies, ils n'avaient pas de temps à perdre au bal, les dragons qu'ils combattaient s'appelaient Spoutnik ou pesanteur terrestre... Quand à ses grands méchants loups ils hurlaient à la lune. Ainsi, chaque soir, tandis que des millions de petites filles s'endormaient pour rêver de leur paradis (se marier avec un prince charmant, vivre heureuses, avoir beaucoup d'enfants), moi je relevais des défis insensés et je m'élançais à la conquète de l'Univers, pour cueillir des bouquets d'étoiles ou effeuiller la Voie lactée."

 

Un psy super efficace, qui donne pour prescriptions des livres et des pages. Et qui lui offre à la fin de chaque séance un mot de psychiatre.

" Les mots sont mes friandises et je n'ai jamais goûté celui-là, alors je le fais fondre dans ma bouche. "

 

Une jeune fille un peu déboussolée mais tout de même assez mature.

" La psychologue scolaire trouve que je suis hyper-mature. Elle a peut-être raison dans certains domaines, mais je sens aussi encore en moi de grands blocs d'enfance, des icebergs qui fondent et se fissurent."

 

Un très chouette week-end à la campagne passé au bord d'une mare à bouquiner et observer les grenouilles. A boire du café et se projeter dans une tapisserie représentant une forêt imaginaire peuplé d'oiseaux fantastique. Pour finir par une averse et une promenade dans une campagne mouillée et odorante.

" Nous avons perdu le paradis mais nous en avons gardé le parfum"

 

" J'atteins le secret du bosquet pour découvrir la mare verdâtre aux contours tourmentés. Plantes aquatiques et roseaux y prospèrent avec délice, se délectant d'eau croupie. Tout y est foisonnant et emmêlé, les plantes s'enchevêtrent et s'embronchent dans les racines des saules pleureurs, les bouleaux aux troncs en trait de craie rayent de blanc les verts acharnés... Tout de suite, j'aime cet endroit. C'est comme ça. Un coup de coeur pour ce grand désordre. Si j'étais peintre je le peindrais, photographe je le photographierais. Mais je ne suis qu'une jeune fille folle de lecture, alors je le mange des yeux et je le mange de mots. " 

 

Une après midi douillette passé dans un salon de thé à se gaver de sucreries en compagnie d'une personne dont je ne vous donnerais pas l'identité.

" Le gâteau se désagrège dans ma bouche, la vie ne devrait être rien d'autre qu'une mousse de noix riche en beurre"

 

 

En bref un style, une écriture, que j'ai adoré.

Une vraie lecture bonheur, un livre qui se déguste doucement, à petites gorgées.

Je vous le recommande fortement (et je m'arrête là parce que je me suis promis de faire des billets plus courts...)

 

Liyah donne des liens, inutile de le faire, je vous donne juste ceux de George et de Mirontaine.

 

 Challenge jeunesse de Whoopsy Daisy 

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30 avril 2011 6 30 /04 /avril /2011 14:20

L'année dernière nos vacances de Pâques avaient été annulées en raison de mon hospitalisation...

C'est sans doute pour ça que, cette année, j'en ai profité à 100 % !!!

Mais le retour : dur, dur...

Enfin j'ai quand même lu :

 

 Un romanesque très sympa et très drôle et qui était un vrai bonheur de lecture... Parce que la lecture ça peut être ça aussi, juste de la détente et du plaisir.

 

Dark Divine La suite de Dark Divine. J'ai eu un peu de mal à accrocher au début mais, après quelques pages, je l'ai dévoré...

 

Paradise kiss - Paradise kiss, T1 Paradise kiss - Paradise kiss, T2 Paradise kiss - Paradise kiss, T3  Des mangas plutôt sympas et qui se lisent très vite...

 

Et parce que des vacances ne seraient pas des vacances sans des petites visites dans des librairies j'ai eu quelques petites faiblesses et j'ai ramené dans mes bagages :

 

Louisa et Clem De l'eau pour les éléphants  Little bird

 

Voili, voilà...

Là, maintenant, je suis en pleine lecture de "La reine des mots"

 

Oh j'oubliais de vous parler des lectures des garçons :

 

 Absolument magnifique, je vous en parlerais bientôt !!!

 

   La couverture est superbe je trouve (je fais actuellement la lecture à "Petit dernier"

 

 

Harold et les dragons - Harold et les dragons, T2 Harold et les dragons - Harold et les dragons, T6 Harold et les dragons - Harold et les dragons, T4  (mes garçons adorent les dragons, au cas où vous n'auriez pas compris )

 

Et "fille ainée" :

 

Eternels - Eternels, T1 La fille de papier 

 

Je vous souhaite un très bon week end et de merveilleuses lectures !!!

 

 

 

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28 avril 2011 4 28 /04 /avril /2011 14:34

radio_des_blogueurs

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  Toujours sur une proposition de Leiloona.

Pas de thème imposé ce mois mais Leiloona a envie de douceur :

"Les jours rallongent, on sort sur la terrasse, on se prélasse au soleil, on s'attarde dehors, et je vois bien accompagner ce moment de calme, après une journée de boulot, de chansons douces. "

 

Alors, voilà ce que je propose,  un morceau qui me fait carrément craquer... et je suis ravie de le partager avec vous. Je crois que vous savez déjà à quel point j'aime Angus et Julia Stone... 

 

 

Sublime, non ???
(Et oui, me voilà de retour !!! Je vous parles très bientôt de mes lectures et de mes craquages de vacances)
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15 avril 2011 5 15 /04 /avril /2011 12:00

Un peu de rangement s’imposait depuis quelques temps… Il fallait vraiment désengorger ma colonne de droite, c’était vraiment indispensable…

 

Deux grands changements pour l’instant :

- Mes liens de favoris : je n’ai gardé qu’une partie, mais je ne les ai pas éliminés pour autant (certainement pas). Pour les retrouver il vous suffit d’aller dans mes « Pages » tout en haut, colonne de droite et en plus, ils sont classés, cela sera donc plus facile pour vous y retrouver (et à moi aussi)

  

- Mes billets lectures à venir (mes livres déjà lus mais dont le billet est encore à faire) et là aussi je les ai déplacés dans mes « Pages ».

  

Pour ces billets je me suis faite une constatation (que vous avez dû vous faire aussi ) : je commence à avoir un retard incroyable !!!

Je suis donc en pleine réflexion : comment vais-je faire pour rattraper tout cela ???

Pour voir plus clair je me suis dit que je vais vous demander votre avis : Est-ce que ça vous ai déjà arrivé d’avoir tellement de billets lectures en retard ??? Et deuxième question : qu’avez-vous fait ? Avez-vous abandonnés quelques livres ou vous avez rattrapés doucement, mais sûrement ???

  

Alors j’attends vos commentaires (surtout ne me dites pas que vous êtes parfaits et que vous n’avez jamais eu de retard )

 

If ever you are in Lyon make sure to visit the bookshop and art gallery Le Bal des Ardents. The entrance to the shop consists of an arch built with just books.

Photos trouvés ici.

  

A part ça, dès mon retour de vacances (ce blog se met en pause dès maintenant) je compte bien vous parler de deux lectures importantes pour moi. D’abord ma lecture de « J’ai nom sans bruit » et ensuite une sortie poche d’un livre qui a été un vrai coup de cœur pour moi « le prisonnier » d’Anne Plantagenet.

 

J'ai nom sans bruit Le prisonnier

 

Voilà donc (normalement) les prochains billets que vous devriez voir dans une dizaine de jours environ.

 

 Sinon il y a aussi le billet de Mango qui m'a interpellé, qui fait suite à un commentaire et à deux questions qu'on lui a laissé sur son blog.

Le RAT ne peut être que du plaisir et certainement pas une histoire de chiffres, en tout cas c'est ainsi que je le vois (et Mango aussi).

Elle parle d'une journée "Cocon" et c'est tout à fait ce que je ressens aussi...

D'ailleurs voilà le commetaire que je lui ai laissé :

" Pour moi impossible de lire par obligation, si je lis c'est parce que j'en ai envie... Impossible de me forcer... Si je ne tirais aucun plaisir  à lire pendant des heures pourquoi est ce que je participerais ??? Et pour moi bien sûr qu'il ne s'agit pas de lire le plus vite possible mais bien de lire toute une journée (en faisant des pauses bien sûr) mais je me retrouve tout à fait dans ce que tu dit : moi aussi j'ai l'impression d'être dans un cocon lors des journées RAT et une journée passée à ne rien faire que lire c'est tellement bon !!! Et comme toi cette phrase me fait frémir de colère : arrête de lire et sort jouer dehors il fait si beau... J'ai eu la chance de ne jamais l'entendre personnellement parce que ma mère a toujours considéré la lecture comme le meilleur des passe-temps... Alors voilà, mais c'est très intéressant de lire tes commentaires... Merci Mango pour cette question pertinente et merci à celui qui te l'a posé !!!"

 

 

Mais allez plutôt lire le billet et les autres commentaires qui sont très intéressant !

 

Pour finir c'est chez Za que j'ai découvert une chanson qui m'a vraiment ému.

Merci Za !!! Comme Za je n'aime pas particulièrement Anne Sylvestre mais cette chanson, je dois dire, est vraiment superbe. Les paroles ne pouvaient que me toucher.

 

Un petit morceau pour le plaisir :

 

"Ecrire pour ne pas mourir,
écrire, sagesse ou délire,
écrire pour tenter de dire,
dire tout ce qui m'a blessée,
dire tout ce qui m'a sauvée,
écrire et me débarrasser.
Ecrire pour ne pas sombrer,
écrire, au lieu de tournoyer,
écrire et ne jamais pleurer,
rien que des larmes de stylo
qui viennent se changer en mots
pour me tenir le coeur au chaud
  
Que je vive cent ans ou bien quelques décades,
je ne supporte pas de voir le temps passer.
On arpente sa vie au pas de promenade
et puis on s'aperçoit qu'il faudra se presser.../..
Et me dissoudre dans les mots
qui soient ma joie et mon repos.
Ecrire et pas me foutre à l'eau."

 


Voilà, je crois que c'est tout...
Ce blog se fait donc  en pause à partir d'aujourd'hui !!!
A bientôt et bonnes vacances à tous ceux qui ont la chance de partir pour Pâques !!!
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14 avril 2011 4 14 /04 /avril /2011 15:40

J'ai nom sans bruit

 

 

Extrait de "J'ai nom sans bruit " d'Isabelle Jarry :

 

" J'ai toujours écrit des poèmes. Aussi loin que je puisse me souvenir, je me revois bataillant avec les pieds et les rimes, petite cela m'amusait beaucoup, j'étais assez systématique, poèmes  à trois vers,à quatre, à cinq, à six, rimes en on, en eille, en aire, je m'enivrais d'alexandrins, mais aussi d'octosyllabes, de décasyllables et même de monosyllabes. J'écrivais des sonnets, des rondeaux, des villanelles et quantité de choses qui n'ont pas de nom parce qu'elles ne répondent à aucune règle enregistrée.

J'ai voulu très tôt y consacrer ma vie. Ce que j'ai fait, durant les années de lycée, puis à l'université où je me suis penchée avec émerveillement sur de très vieux poètes, morts depuis des siècles. Je noircissais dans le même temps carnets et blocs avec entrain, mon inspiration se mélangeant à l'enthousiasme des premières découvertes. Non seulement je ne doutais de rien concernant la source où je puisais inlassablement et qui me paraissait intarissable, puisque les mots eux-mêmes servaient de réservoir, mais je ne me demandais pas non plus quel avenir était réservé aux poètes et à leur production. Me préoccuper de cela me semblait inutile et vain, voire complètement déplacé dans le mouvement que j'avais engagé, et qui dépassait largement les contingences matérielles de la vie quotidienne.

Je n'ai jamais eu l'intention de faire autre chose qu'écrire. Je niais farouchement la réalité qui veut que l'on doive gagner sa vie, travailler, avoir un métier. Je refusais d'en tenir compte, persuadée que l'on pouvait tenir à distance cette contrainte, pour peu qu'on en eût la ferme résolution. De la même façon, je ne voulais en aucun cas subir la tyrannie de l'argent et envisager l'existence sous l'angle unique d'un compte en banque à remplir. L'exercice de l'art et celui de la liberté sont en liance étroite et serrée, ils se pratiquent dans la même ascène et le même refus des aliénations de toutes sortes. Je ne me posais pas la question de savoir comment les choses se passeraient réellement, tout simplement parce que je ne concevais pas que le matériel puisse venir se mettre en travers de mon chemin. "

Isabelle Jarry

 

 

 

Vous êtes plusieurs dont la curiosité à été aiguisés par le titre d'Isabelle Jarry : "J'ai nom sans bruit ".  Voilà donc de quoi vous rassasier en attendant mon billet.

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13 avril 2011 3 13 /04 /avril /2011 13:03

No et moi Existe également en livre de poche : No et moi

 

Le mot de l'éditeur :

 

Lou Bertignac a 13 ans, un QI de 160 et des questions plein la tête. Les yeux grand ouverts, elle observe les gens, collectionne les mots, se livre à des expériences domestiques et dévore les encyclopédies.
Enfant unique d’une famille en déséquilibre, entre une mère brisée et un père champion de la bonne humeur feinte, dans l’obscurité d’un appartement dont les rideaux restent tirés, Lou invente des théories pour apprivoiser le monde.
A la gare d’Austerlitz, elle rencontre No, une jeune fille SDF à peine plus âgée qu’elle.
No, son visage fatigué, ses vêtements sales, son silence.
No, privée d’amour, rebelle, sauvage.
No dont l’errance et la solitude questionnent le monde.
Des hommes et des femmes dorment dans la rue, font la queue pour un repas chaud, marchent pour ne pas mourir de froid. « Les choses sont ce qu’elles sont ». Voilà ce dont il faudrait se contenter pour expliquer la violence qui nous entoure. Ce qu’il faudrait admettre. Mais Lou voudrait que les choses soient autrement. Que la terre change de sens, que la réalité ressemble aux affiches du métro, que chacun trouve sa place. Alors elle décide de sauver No, de lui donner un toit, une famille, se lance dans une expérience de grande envergure menée contre le destin. Envers et contre tous.

Roman d’apprentissage, No et moi est un rêve d’adolescence soumis à l’épreuve du réel. Un regard d’enfant précoce, naïf et lucide, posé sur la misère du monde. Un regard de petite fille grandie trop vite, sombre et fantaisiste. Un regard sur ce qui nous porte et ce qui nous manque à jamais."

 

Ce livre est, indéniablement, très émouvant. Il vous touchera au cœur, forcément. Ce n’est pas un coup de cœur parce que j’avais sans cesse le souvenir, sur un sujet approchant, du livre d‘Isabelle Jarry : « J’ai nom sans bruit » que j’ai vraiment adoré et dont l’écriture me convenait beaucoup plus.

Il n’empêche, c’est une belle lecture, il se lit très vite et très facilement.

Lou est une gamine surdoué, qui réfléchit tout le temps et ne s’arrête jamais de cogiter.

  

«  Dans la vie il y a un truc qui est gênant, un truc contre lequel on ne peut rien : il est impossible d’arrêter de penser. Quand j’étais petite je m’entraînais tous les soirs, allongée dans mon lit, j’essayais de faire le vide absolu, je chassais les idées les unes après les autres, avant même qu’elles deviennent des mots, je les exterminais à la racine, les annulais à la source, mais toujours je me heurtais au même problème : penser à arrêter de penser, c’est encore penser. Et contre ça on ne peut rien. »

  

L’histoire de Lou est plus douloureuse qu’elle n’en a l’air, sa mère est plus que dépressive depuis la perte de son bébé, une petite fille. Son père essaye de tenir ensemble les côtés pour que, de tout cela, survive un semblant de normalité dans cette famille. Et Lou surnage dans une ambiance plutôt sinistre.



Elle fait la rencontre de No, comme Nothing, comme rien, une jeune SDF de 18 ans. Au départ cette rencontre n’est que le prétexte d’un devoir, Lou fait un exposé sur les jeunes sans abri. Mais de fil en aiguille Lou décide de l’aider et No finit par emménager avec elle, ses parents sont d’accord de l’accueillir chez eux.

Mais bien sûr rien ne sera aussi simple…

 

Il y a aussi la rencontre avec Lucas, et l’ébauche d’un premier amour… Le beau Lucas, sauvage et rebelle



«  Il est le roi, l’insolent, le rebelle, je suis la première de la classe, docile et silencieuse. Il est le plus âgé et je suis la plus jeune, il est le plus grand et je suis minuscule. »

 

Les deux passages qui m’ont semblés les plus percutants :



 

«  No se tait, pendant quelques minutes, le regard dans le vague. Je donnerais tout, mes livres, mes encyclopédies, mes vêtements, mon ordinateur, pour qu’elle ait une vraie vie, avec un lit, avec maison et des parents pour l’attendre. Je pense à l’égalité, à la fraternité, à tous ces trucs qu’on apprend à l’école et qui n’existent pas. On ne devrait pas faire croire aux gens qu’ils peuvent être égaux ni ici ni ailleurs. Ma mère a raison. C’est la vie qui est injuste et il n’y a rien à ajouter. Ma mère elle sait quelque chose qu’on ne devrait pas savoir. C’est pour ça qu’elle est inapte pour son travail, c’est marqué sur ses papiers de sécurité sociale, elle sait quelque chose qui l’empêche de vivre, quelque chose qu’on devrait savoir seulement quand on est très vieux. On apprend à trouver des inconnues dans les équations, tracer des droites équidistantes et démontrer des théorèmes, mais dans la vraie vie, il n’y a rien à poser, à calculer, à deviner. C’est comme la mort des bébés. C’est du chagrin et puis c’est tout. Un grand chagrin qui ne se dissout pas dans l’eau, ni dans l’air, un genre de composant solide qui résiste à tout. »

 

«  On est capable d’envoyer des avions supersoniques et des fusées dans l’espace, d’identifier un criminel à partir d’un cheveu ou d’une minuscule particule de peau, de créer une tomate qui reste trois semaines au réfrigérateur sans prendre une ride, de faire tenir dans une puce microscopique des milliards d’informations. On est capable de laisser mourir des gens dans la rue. »



Un sujet grave, dramatique, triste qui est peut-être un peu trop traité à la légère dans ce roman. Mais cela a suffi pour me plomber le moral…

Parce qu’il n’y a pas d’espoir…

Et que le monde dans lequel nous vivons est parfois bien laid…

Pour info Zabou Breitman en a fait un film et comme j’adore tout ce qu’elle fait, j’aimerais beaucoup le voir.





 

 

Les billets de Lily, Leiloona, Clarabel, Nina et Emilie

 

 

42823900 p[1] Objectif PAL d'Antigone 
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10 avril 2011 7 10 /04 /avril /2011 18:33

RATAvril2011AllanRBanks                                                             Logo : Joelle

 

Aujourd'hui je suis complètement K.O

Endormie au possible, incapable de rien faire... Bref, j'ai besoin de repos...

Mais je ne regrette rien, la journée d'hier était fantastique... L'exaltation était bien là, toujours au rendez-vous !!!

 

Voilà mon bilan :

 

Azilis, La nuit de l'enchanteur, roman jeunesse : 378 pages

Sambre, Hugo et Iris, tome 2, BD : 48 pages

Sambre, Hugo et Iris, tome 3, BD : 62 pages

No et moi, roman adulte : 155 pages (pas réussi à le finir)

Fini Le sommet des Dieux, tome 1, BD : 159 pages (de la page 177 à la page 335)

 

Et le total : 802 pages (et encore une fois, à 2 pages près, j'ai failli arriver à un chiffre rond...)

Je suis un peu déçue parce que j'avais vraiment envie de battre mon propre record de la dernière fois, qui était de 1000 pages... Et j'ai échoué lamentablement...

Mais aucune importance : ça sera mon défi pour le prochain Read a thon

 

Merci à mon homme pour avoir été à la hauteur hier, merci à mes garçons d'avoir été si sage.

Merci à Virginie pour cette super expérience.

Merci encore à Joëlle pour son super logo.

Et merci pour tous vos messages de soutien, MERCI, MERCI !!!

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  • : Le blog de l'or
  • : Je suis une jeune femme passionnée de littérature... Mon blog sera surtout un concentré de ma plus grande passion : la lecture... Il y aura aussi quelques touches de peintures, de cinéma, de musiques et un peu de ma vie aussi... L'Or des Chambres pour un hommage à la très grande Françoise Lefèvre dont j'emprunte le titre d'un de ses livres.
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Challenges 2013

tour-du-monde-1

Le tour du monde en 8 ans

 

Challenge Irlande : illimité !!

 

Fin : 31 Juillet 2013

 

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Fin : 01 Août 2013 (ou plus)

 

   

Fin : 30 septembre 2013

 

Fin : 30 juin 2013

 

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Fin : 31 Octobre 2013

 

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Fin : novembre 2013  

 

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Fin : 31 décembre 2013 Repris par Lystig 

 

Fin : 28 Juillet 2013

 

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Fin : décembre 2012 (Folfaerie m'a donné une prolongation pour cette année, merci à elle !!)

 

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Fin : 23 Septembre 2013 (Prolongation) 

 

Ici, et là 

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Femmes du mondel ogo  

Cent ans Wassmo

La terre fredonne en si bémo l- Strachan

Les femmes du braconnier - Pujade Renaud

Fin : décembre 2012 (renouvelable)    

 

2/10 Re-Prolongation du challenge :

Fin : 05 avril 2014  

 

Prolongation du challenge

Fin : 30 septembre 2013    

Index auteurs


Agus Milena - Battement d'ailes

Ahern Cecelia - Un cadeau du ciel

Beckett Bernard - Genesis

Benameur Jeanne - Les insurrections singulières

Bertholon Delphine - L'effet Larsen

Brisac Geneviève - 52 ou la seconde vie

Cabasson Armand - La reine des mots

 Calvetti Paola -L'amour secret

Chabrol Caroline - Sous les cahiers, la mort

Cohen Welgryn Myriam - Mères - Myriam Cohen Welgryn
Constantine Barbara - A mélie, sans mélo

Delaflotte Mehdevi Anne - Fugue

Dickens Charles - Un chant de Noël
Divakaruni Chitra Banerjee -Ma soeur, mon amour

Donovan Gérard -Julius Winsome

Estibal Sylvain - Le dernier vol de Lancaster
Ferney Alice - Paradis conjugal
Giraudeau Bernard - Cher amour

Girerd Jacques Rémy, Benoît Chieux - L'enfant au grelot  (album enfant)
Glass Julia - Jours de juin

Guelfenbein Carla - Le reste est silence

Haasse Hella S. -La source cachée
Hannah Kristin - La magie du bonheur

Henrichs Bertina -La joueuse d'échecs 

Herry Jeanne - 80 étés

Hobbie Holly - Juste à temps pour Noël - Holly Hobbie (album enfant) 
Holder Eric - Mademoiselle Chambon

Kamimura Kazuo - Lorsque nous vivions ensemble 1
Kamimura Kazuo - Lorsque nous vivions ensemble 2

Kingsolver Barbara - Un été prodigue

Kortepeter Paul et Susan Wheeler - Youpi, pas d'école  (album enfant)
Lemoine Annie - Les heures chaudes

Lethielleux Maud - Dis oui, Ninon
Levraud Murielle - Le soir autour des maisons 

Malte Marcus - Garden of love

Martinez Carole - Le coeur cousu

Matheson Richard - Je suis une légende

Mazurel Claire et Marie H. Henry - Demain c'est Noël (album enfant)
Mégnin Jean-Philippe - La voie marion

Meyer Stephenie - Les âmes vagabondes

Miller Rebecca - Les vies privées de Pippa Lee 

Moning Karen Marie - Fièvre noire

Mosse Kate - Les fantômes d'hiver

Picasso Marina - Grand-père
Rice Luanne - Les carillons du bonheur
Ryan Carrie -La forêt des damnés

Sampioro Dominique - La petite présence
Scholes Katherine - Les amants de la terre sauvage

Setterfield Diane - Le treizième conte
Sigurdardottir Steinnunn - Le Cheval Soleil
Tardieu Laurence - Comme un père

Vann David - Sukkwan Island   
Vigan Delphine De - No et moi

Woolf Virginia - Mrs Dalloway