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Je montais droit devant moi...
La route était longue, mes muscles, mon dos, mes jambes n'en pouvait plus...
Je me demandais si cela pouvait avoir une fin...
La neige me coupait toute visibilitée
Il neigeait à gros floçons, cela me coupait le souffle et le jour allait bientôt rendre les armes...
Je marchais dans le flou, dans le vague complet...
Je ne savais plus où j'allais... mais j'y allais...
Qu'importe la route, pourvu qu'il y ai une fin...
Je sentais le froid engourdir mes pensées...
Plus rien n'avait de sens, il me fallait trouver la source... l'abri... le refuge...
Là où tout avait commençé...
Là où je me retrouverais enfin...
La neige ralentit mes pas et je n'ai presque plus la sensation d'avoir des pieds...
J'ai presque l'impression de voler...
De survoler, tout ce blanc, cette immensité, cette pureté glaçé...
Mes poumons n'ont jamais aussi fonctionnés...
Je ressens chaque souffle, chaque inspiration intensément...
Devant moi la route...
Devant moi la source...
Il me faut juste l'a trouver...
L'a trouver avant la nuit...
Le silence de la forêt m'impressionne et me glace...
Mais il est apaisant aussi et me berce...
Il me faut marcher... et marcher encore...
Ne surtout pas flancher... ne surtout pas tomber...
Je ne me relèverais plus...
Et je ne deviendrais qu'un petit monticule de neige de plus dans cette blancheur immaculée...
Mais le froid me pousse... me pousse un peu plus en avant...
Un pas après l'autre...
Je n'abandonnerais pas... Non, pas encore...
Il me faut trouver la source... le refuge... la maison...
Rien n'a plus d'importance que de marcher encore et encore...
La vie est là et elle me pousse en avant...
Je ne flancherais pas... pas avant d'avoir épuisé mes dernières forces...
J'ai encore de la force... J'ai encore du courage...
Il me faut te retrouver... te retrouver avant que tout s'achève...
Mes cheveux, mes cils sont recouvert de neige...
Je ferais une reine de glace plus que réelle...
Mais mon coeur est une parfaite machine de chaleur et d'amour...
Il bat encore...
Il bat encore...
Je n'abandonnerais pas...
Non, pas encore...
Mes pas, mes pensées ralentissent... Le froid est de plus de plus vif... Il ne me laisse aucun répit...
L'envie me vient de m'arrêter, de me coucher dans la neige et de laisser couler...
Je sens mes yeux se fermer malgré moi... Je sens mes jambes qui se rebellent, elles refuseront bientôt de m'obeir...
Ne serais ce pas plus simple de ne plus se battre ?...
Ne serais ce pas plus facile de ne plus se débattre ?...
Et soudain, presque comme un songe, presque comme un rêve je vois juste derrière les arbres que je touchent, la maison...
La maison rouge...
Je vois la source, je vois le commencement, je vois le refuge et l'abri...
La fenêtre droite est éclairée et ta silhouette s'encadre dans le reflet des bougies...
Tu scrute la route, tu guette... Tu me verras bientôt...
La route était longue mais j'y suis arrivée...
La source...
L'or...
Je t’attends…
Tu verras, tu seras bien…
Il neige si fort depuis ce matin, il y a cette blancheur éblouissante et cette odeur de pureté.
Les crissements de tes pas sur le chemin vers la maison seront si bon à mes oreilles.
Tu verras, la cheminée ronronne… Je la nourris copieusement et régulièrement… La maison sent la sève et la profondeur de la forêt… Tu viendras faire craquer le parquet en chêne et les coussins en lin rouge et blanc seront doux avec ta peau veloutée.
Tu verras, tu t’installeras à table et nous goûterons les plaisirs de la table…
Il y aura le croquant et la saveur des noix. Tu te réchaufferas le palais avec un thé bien chaud, au bon goût de cannelle et de noix. Ton palais succombera à la suavité du miel et la douceur des amandes… Tes papilles serons folles au contact de la douceur des brioches au sucre vanillé, et du moelleux croquants des pépites de chocolat.
Tu fondras avec les bouchées de pain que j‘aurais tartiner de beurre salée breton et que je poserais lentement sur ta langue.
Le sorbet à la poire fondra sous ta langue pour finir dans ta gorge…
Et puis, l’acidité des oranges et des clémentines d’Espagne finirons de t’achever…
Tu pleureras sous l’onctuosité des yaourts à la rhubarbe
Tu verras, tu viendras…
Tu viendras et tu ne voudras plus jamais repartir…
L'or
Francine Van Hove - La petite bouilloire
Ceci est ma participation pour les petits secrets sucrés. Si vous en avez envie, vous pouvez voter pour moi en cliquant ici.
EDIT DU DIMANCHE 28 NOVEMBRE : ceci est également ma participation aux dimanches poétiques de Boockworm, les autres participantes ici.
Je vous souhaite un bon dimanche.
Dessin de Marlène
Il neige…
Il neige maintenant depuis un an, trois jours et six heures…
Personne ne sait quand cela va s’arrêter, tout le monde spécule, ils s’éclatent tous à faire des prévisions, des calculs. Ils cherchent des raisons, chacun y va de sa petite idée, de sa petite folie. Certains prédisent la fin du monde, la fin de nos jours, la fin de tout…
Moi je suis dans l’ivresse, je m’enivre de l’odeur de la neige. Je savoure sa blancheur, sa pureté. Son onctuosité…
Je respire et je sens le froid circuler dans mes veines et purifier mon sang.
Je respire et je me sens devenir forte, les pensées de plus en plus claire…
Je m’enivre et je me soûle de toute cette pureté.
Je me soûle de ce paysage redevenu vierge.
Je me soûle, me vautre dans tout ce blanc…
Et je marche, je marche pendant des heures, emmitouflée dans le plus d’épaisseur de douceur possible ; manteau, écharpe, trois pulls et deux écharpes et même, même parfois une couverture posé sur mes épaules…
La terre se meurt…
La terre n’a jamais été aussi belle…
Les images qui passent en boucle à la télé et qui me fascinent sont celles des ours blancs qui retrouvent enfin le moral et qui s’ébattent joyeusement. Ils dépassent les frontières, bientôt ils arriveront en ville…
Faudra faire gaffe, histoire de ne pas se trouver soudainement face à eux… Leur beauté, sans doute, me clouerait sur place.
Je resterais pétrifier par la magnificence, la noblesse, la splendeur de cette animal qui me fixerait avec le plus grand dédain…
Qui suis-je, que suis-je face à lui ?
Mais nous n’en sommes pas encore là, non, pas encore…
Pour l’instant les rues sont sûres et elles m’appartiennent. Les gens se terrent, se pétrifient entre leurs murs.
Ils n’osent plus sortir, ils restent comme figés, devant leur poste de télé. Ils claquent des dents, ils sont cloués par la peur…
Les rues sont à moi…
Et je respire, je respire à pleins poumons…
Je m’enivre et je m’enivre encore…
Je me soûle de cette blancheur et elle me fait parfois vaciller…
Ce blanc, à perte de vue, c’est comme un perpétuel recommencement…
Une immensité glaciaire…
Il neige…
Il neige depuis un an, trois jours et six heures…
Et moi…
Moi, je n’ai jamais été aussi heureuse…
L'or
Ceci est ma participation au jeu d'écriture du blog à 1000 mains
Le ciel est sublime, il est pur, d'un bleu de glace. Je me suis installée sur la terrasse. Tu me verrais, les cheveux défaits, le visage encore tout chiffonné d'une mauvaise nuit de sommeil... Les yeux cernés, le teint encore très pâle (je n'ai pas encore eu le temps de prendre le soleil).
Tu me verrais...
Quel meilleur endroit que cette terrasse ensoleillée pour t'écrire. Je crois que ça sera une belle journée, sans vent, sans nuages. Il fait encore très frais pour la saison mais ils annonçent un réchauffement réel. L'humidité de la nuit m'entoure et me fait éternuer. Et cela même si j'ai couvert mes épaules avec ce gilet turquoise que tu m'avais offert l'hiver dernier. J'ai un peu froid mais c'est peut-être l'absence...
Ton absence...
Bientôt l'été sera là, les enfants se baigneront dans la rivière et les touristes arriveront. Il y aura du bruit et des rires et le temps passera avec douceur.
Mais ton absence...
Devrais-je te dire encore à quel point tu me manques ?
Devrais-je encore te le dire ?
Le temps passe lentement, douloureusement... Les heures passent, dangereuses, agaçantes... Je sais ce que tu me dirais... Je le sais... Mais ça n'empêche pas l'amertume de mes jours. J'ai devant les yeux le citronnier magnifique que grand-père a planté il y a de cela des années, lors de leur arrivé dans cette maison... Il est très vieux... et gigantesque pour un citronnier, tout le monde nous en fait la remarque...C'est sans doute l'amour de grand-père et sa détermination qui l'ont fait prospérer à ce point. Cet été encore les enfants profiteront de son ombre pour jouer, pour lire, pour se reposer... Et nous mangerons ses fruits, je ferais des sorbets, des confits pour accompagner des grillades...
Grand-père n'est plus là, et grand-mamie non plus...
Mais le citronnier lui, veille...
Et il sera encore là quand nous ne serons plus...
Magnifique, imposant, grandiose...
Ainsi que la mer, le soleil, les rivières...
Notre amour est-il immortel ?...
Dans quelques heures je prendrais le chemin de pierres roses avec les enfants, nous descendrons à la rivière, peut-être même se baigneront-ils. Ils seront joyeux, insouciants, heureux. Ils ne t'attendent pas... Ils savent... Tu reviendras... bientôt...
C'est toute la force de leur enfance qui leur donne cette confiance...
Il n'y aura pas de vent aujourd'hui... La chaleur montera lentement et avec elle l'espoir d'un bel été... Je crois que Papa nous rejoindra en Juillet. Mais il ne sait pas encore pour combien de temps, il n'a pas encore posé ses congés. Il viendra avec Juliette. Tu sais, elle a beaucoup changé, elle est devenue plus douce, plus sereine. Je finirais peut-être un jour par l'apprécier. Peut-être...
J'ai un peu moins froid... Les cigales ont déjà commençés à chanter. La journée sera belle.
Mon thé refroidit lentement, à porté de ma main. J'ai goûté le thé que Marie m'a envoyé, il a un goût de soleil et de vacances. Un gôut de pamplemousse et de citron... Un petit goût d'acidité mais aussi de tendresse. J'ai devant moi quelques minutes encore de calme et de tranquilité, les enfants ne devraient plus tarder à se réveiller. Tu verrais Baptiste il est absolument craquant... Hier je l'ai emmené chez le coiffeur, il n'a plus ses petites boucles dorées. Cela devenait impossible à coiffer, alors voilà... Cela lui va très bien, on dirait un vrai petit homme. Quand je l'ai couché hier soir il m'a demandé de lui apporter un petit miroir de poche, pour pouvoir s'admirer à loisirs. Il m'a regardé en plongeant son regard bleu ciel dans le mien, m'a demandé le plus sérieusement du monde avec sa petite voix adorable :
" Maman, est ce que je suis un grand maintenant ? "
Je lui ai répondu qu'il grandissait un peu plus chaque jour mais que, tant qu'il en aurait envie, il pourrait encore jouer un peu au bébé et que cela ne l'empêcherait jamais de me faire des gros calins et il s'est blotti dans mes bras.
Marion a encore perdu une dent il y a trois jours... Elle a un sourire qui vaut le coup d'oeil... Elle devient plus belle de jours en jours notre fille. Je surprends parfois sur son visage des expressions qui sont les tiennes. Cela me serre le coeur... et m'éblouit en même temps.
Que faudrait-il que je te dises de plus ?
Que faudrait-il te dire pour te convaincre ?
Que la vie sans toi me paraît bien terne...
Que les jours sans toi sont banals et gris...
Mais je m'interromps quelques instants mon amour... Le facteur me fait signe derrière la grille. J'attends un colis, quelques livres commandés...
Je reviens...
Il y avait aussi une lettre... une lettre de toi... Tu me dis que tu seras là demain, tu me demandes de venir te chercher à 7 h 45, tu me dis que tu reviens...
Que tu reviens...
J'ai confiance... j'ai confiance en nous...
Nous nous sortirons de tout cela... Nous nous relèverons....
Plus fort encore...
Cette lettre je ne l'enverrais pas... je te la donnerais demain...
Je t'attends...
Je t'attends...
L'or des chambres
Ceci est ma participation au jeux d'écriture du blog a mille mains.
D'autres textes ici.
C'était le dernier jour aujourd'hui. Comme d'habitude je ne suis pas en avance...
J'ai oublié de dire aussi que la photo vient de Thé citron, photo magnifique qui m'a vraiment inspiré... Merci à toi Thé citron !
Bisous à toutes et à tous.
Jeffrey T. Larson - Automn Apples - 2000
Voilà ce qui pourrait être la quiétude d'un jour férié comme un autre...
La confection d'un gâteau à la pomme...
L'écoute d'une chanson que l'on vient de découvrir sur un blog que l'on visite souvent...
La tranquilité d'un jour de repos comme un autre...
La pluie dehors qui oblige à trouver des occupations à l'intérieur...
Le froid qui fait que l'on rallume le feu de la cheminée...
Le bonheur de l'écouter crépiter et de sentir sa tendre chaleur qui parfume la pièce...
Des heures qui s'écoulent... tranquilles... apaisantes... douces...
Etre berçé par la douce mélodie de cette chanson que l'on écoute, encore et encore...
Des heures sereines, dormantes et inoffensives...
Des heures paisibles...
L'autre versant c'est peut-être l'orage violent qui se cache derrière nos paupières.
C'est peut-être un peu le blues...
C'est peut-être la déception et la colère que l'on peux ressentir face à certaines situations...
C'est peut-être être lasse et fatiguée de se battre contre certains faits qui finiront peut-être un jour par vous abattre...
C'est peut-être se sentir fragile et infiniment sensible...
C'est regarder les jours qui passent et qui paraissent toujours revenir en arrière...
C'est être entraîné dans un manège dont on voudrait descendre à tout prix...
C'est combattre une tristesse sourde dont on ne saurait pas très bien la provenance...
Une mélancolie que l'on ne saurait nommer...
L'autre versant c'est peut-être ce que l'on ne dit pas...
C'est ce que l'on garde pour soi...
L'autre versant c'est peut-être les jours qui passent et que l'on ne saurait retenir...
C'est peut-être le sable qui coule et qui ressemble aux heures et aux minutes...
La quiétude et l'autre versant c'est peut-être les deux pôles de nos vies qui s'affrontent et qui n'en finissent jamais...
Parce qu'il n'y a ni gagnant, ni perdant...
Et que nous sommes au milieu...
Tout simplement là...
Au milieu...
Au centre...
Et que l'on s'adapte comme on le peux...
L'or des chambres
" Appliquez-vous à garder en toute chose le juste milieu "
Confucius
"La mélancolie
C'est avoir le noir
Sans savoir très bien
Ce qu'il faudrait voir
Entre chien et loup
C'est un désespoir
Qu'a pas les moyens
La mélancolie..."
Léo Ferré, la mélancolie, extrait.
Parce que, on l'attendait tous et toutes...
Parce qu'il est là aujourd'hui...
Parce que, même si, pour l'instant,
il est surtout dans le calendrier...
Parce que, on rêve de chaleur, de soleil et de l'odeur du printemps...
Le Printemps
Après tout ce blanc vient le vert,
Le printemps vient après l’hiver.
Après le grand froid le soleil,
Après la neige vient le nid ,
Après le noir vient le réveil,
L’ histoire n’est jamais finie.
Après tout ce blanc vient le vert,
Le printemps vient après l’hiver,
Et après la pluie le beau temps.
Claude Roy
Rondeau de printemps
Le temps a laissé son manteau
De vent, de froidure et de pluie,
Et s’est vêtu de broderie,
De soleil luisant, clair et beau.
Il n’y a bête ni oiseau
Qu’en son jargon ne chante ou crie :
Le temps a laissé son manteau
De vent, de froidure et de pluie.
Rivière, fontaine et ruisseau
Portent en livrée jolie
Gouttes d’argent, d’orfèvrerie;
Chacun s’habille de nouveau:
Le temps a laissé son manteau.
René Charles d’Orléans (1391-1465) – Rondeaux
Si la soirée est douce,
Et si la soirée est
douce, nous irons mettre les chaises sur la terrasse.
Les heures s'annonceront belles et joyeuses
Les femmes ressortiront les jupes soyeuses du placard
et mettront du rose aux joues
Nos amis arriveront en retard, comme d'habitude
Mais ils seront joyeux comme du champagne glaçé
Si la soirée est douce, nous allumerons des bougies
Nous ferons une salade de fruits, avec du melon, des cerises
Nous nous mettrons pieds nus
et goûteront la fraîcheur de l'herbe
Nous lèverons la tête pour admirer les étoiles
Nous oublierons l'hiver
Nous mettrons de la musique qui bouge
et nous ouvrirons, toutes grandes, les portes fenêtres
Les rires monteront dans la nuit
La terrasse prendra une somptueuse couleur orangée
lorsque le soleil se couchera
Et les enfants, danseront,
sous la lune pleine,
dans le jardin humide.
Leurs voix joyeuses chanteront
le retour du printemps....
le retour du printemps...
L'or des chambres
Bon week-end !
Photo Michael Kenna
Et si le vent se calme nous partirons,
Nous partirons...
Dans la voiture notre souffle
sera comme un petit brouillard.
Nos joues seront glacées et nos lèvres gercées,
Mais nous aurons le coeur léger
La route sera calme.
Le silence sera doux.
Nous roulerons la fenêtre ouverte et le chauffage à fond.
Nos joues devriendront rouge et sur nos lèvres
S'épanouira un sourire comme une fleur d'été.
Et le jour se levera
dans notre sérénité
Alors nous reviendrons,
Nous reviendrons...
(Un grand merci à In Cold Blog pour m'avoir fait découvrir ce photographe merveilleux qu'est Michael Kenna)
Le site de Michael Kenna ici.
" Le bon critique est celui qui raconte les aventures de son âme au milieu des chefs-d'oeuvre" Anatole France, phrase lue chez l'Irrégulière
Meuse l'oubli
Nos vies désaccordées
Ariel de Sylvia Plath
Le docteur Jivago pour "Un hiver en Russie" (jusqu'au 21 mars) avec Touloulou
Le roman d'Ernest et Célestine dont je fais la lecture à PetitDernier tous les soirs
Par ici, c'est chaque jour une nouvelle photo de Doisneau, Atelier Robert Doisneau
Par là, le Bonheur du jour
Rose Aimée T1
Shutter Island
L'arbre du père
Les ignorants
Twilight T4
Twilight T3
Twilight T2
Twilight T1
Là fois où je suis devenu écrivain
Un temps fou
Sac d'os
L'enlèvement
Cette nuit là
Hunger games T3
Les demeurées
Hunger games T2
Eux sur la photo
Habibi (BD)
Paradise
Les trois lumières
Thérapie
Orgueil et préjugés
Hunger Games
Le seigneur des anneaux T1
La reine des délices
Fais moi peur
Sous la glace
Eloge de la faiblesse
Winter
Je ne suis pas celle que je suis
Chienne de vie
La vieille Anglaise et le continent
Le sommet des Dieux, tome 3
Sobibor
les oreilles de Buster
New York, journal d'un cycle
Le premier été
Le sommet des dieux T2
L'odeur du figuier
0.4
Les collines du tigre
Miel et vin
Un certain vertige
Le blues des grands lacs
Quinze kilomètres trois
Le sommet des dieux T1
L'échappée belle
Les années douces T2
Le caveau de famille
Le mec de la tombe d'à côté
Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur
Rosa Candida
Azilis l'épée de la liberté
Ouragan
Les tendres plaintes
Le tour du monde en 8 ans
Challenge Irlande : illimité !!
Fin : 31 Juillet 2013
Objectif PAL Noire by L'Or et George ; illimité
Fin : 01 Août 2013 (ou plus)
Fin : 30 septembre 2013
Fin : 30 juin 2013
Fin : 31 Octobre 2013
Fin : Décembre 2013 (prolongation)
Repris par Anne
Fin 31 décembre 2013
Fin : novembre 2013
Repris par Touloulou
Date de fin : 08 octobre 2014
Prolongation jusqu'au 21 décembre 2013
Fin : 31 décembre 2013 Repris par Lystig
Fin : 28 Juillet 2013
-/5
Fin : décembre 2012 (Folfaerie m'a donné une prolongation pour cette année, merci à elle !!)
-/3
Fin : 23 Septembre 2013 (Prolongation)
3/3
Fin : 21 Juin 2013
La terre fredonne en si bémo l- Strachan
Les femmes du braconnier - Pujade Renaud
Fin : décembre 2012 (renouvelable)
2/10 Re-Prolongation du challenge :
Fin : 05 avril 2014
Prolongation du challenge
Fin : 30 septembre 2013
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